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« Il n’y avait aucune reconnaissance. J’ai vrillé, je me demandais pourquoi j’étais là. ».S’engager pour des causes plus grandes qu’elle, voilà ce qui a porté Anna à devenir infirmière il y a 10 ans. De la réanimation à la transplantation en passant par la pédopsychiatrie, elle passe une décennie à l’hôpital au service des patients ; 10 ans d’horaires décalés, de gardes à rallonge, de congés sacrifiés pour être à la hauteur de sa mission.« Il n’y avait aucune reconnaissance. J’ai vrillé, je me demandais pourquoi j’étais là. ». Anna veut changer mais en restant fidèle à ses fondamentaux, sa passion pour le bien commun, les politiques publiques et les solutions pour mieux vivre en société.Un master en éthique du soin ? Pourquoi pas mais ça coûte cher. Du développement web ? Intéressant. Non, ce sera une formation pour devenir data analyst !Le lien avec la santé publique ? Limpide, comme l’explique dans son témoignage Anna qui a profité du parcours Chance pour « aller au bout des choses, rencontrer des professionnels », et consolider son projet.Anna nous montre comment faire des connexions entre ses valeurs, son tempérament et la réalité, génère du sens quel que soit le métier que l’on choisit !*Cette vidéo a été réalisée en partenariat avec Chance.Interview : Laurène LothPhoto, montage et réalisation : Sydney KlasenSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/les-deviations. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
« Mais qu'est-ce que je vais faire de ma vie ? Je n'ai plus goût à rien. La vie, c'est juste être forte, avoir de bons résultats, être la meilleure. Et moi, ce n'est pas ma vision. Ce n'est pas du tout ce que je veux dans la vie. »Après des débuts sous le signe de la raison à HEC puis de la passion en école de théâtre, Kenda déchante, reprend des études de communication et se spécialise dans la presse féminine puis le luxe au gré du courant. Tout n’est pas rose, tout n’est pas noir. Tout manque de sens. « On me demandait de rendre un dossier ce soir et ça semblait la chose la plus importante de la Terre. » Le stress de faire couler sa boite si elle ne travaille pas jusqu’à 22h prend une autre mesure le jour où son bébé part au bloc. Remise en perspective des priorités. Elle se forme pour devenir coach mais, contrairement à une majorité de reconvertis dans le coaching, décide bien vite de prendre cette vague en collectif plutôt qu’en solo en intégra...
Clémence Dessus est une jeune maman dont le parcours, aussi bien professionnelle que personnelle lui a permis de retomber sur ses pieds. Née à Rueil-Malmaison, elle se passionne très jeune pour l’écriture et le monde de l’édition. Pourtant à ses 18 ans elle rejoint Dauphine où elle apprend le marketing pendant 4 ans. Puis elle rejoint La Sorbonne pour finir son cursus en psychologie du consommateur. Un parcours qui va l’emmener lors de ses premiers stages dans le marketing des études.Elle poursuivra en marketing au groupe Lagardère, avant de tout quitter pour se reconvertir grâce à un bilan de compétence. Aujourd'hui elle enseigne tout ce qu'elle sait sur le marketing dans une école hôtelière. Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/les-deviations. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Originaire du Cameroun, Jeanne est élevée par sa grand-mère, chef de village qui lui a transmis des valeurs fortes et profondes.Ambitieuse, fonceuse et audacieuse, Jeanne refuse de laisser son bégaiement prendre le dessus et travaille d'arrache pied pour se surpasser.Ancienne directrice dans la restauration d’entreprise, elle décide d'entreprendre en créant des Kimonos sous la marque Kiru'Mono - vêtement que sa grand-mère a toujours porté -.Elle nous raconte aujourd'hui la genèse de cette belle aventure !C'est pour mettre en lumière ces parcours de vie étonnants et issus de la diversité que nous organisons en partenariat avec l'Association Audacity For Africa le prochain dîner autour de l'entrepreneuriat au féminin. Comment lever les freins qui limitent notre audace ? Rendez-vous le mardi 05 juillet à 20h au restaurant Le Sarté. Pour venir les écouter et en savoir plus sur l'événement, réservez votre place dès maintenant juste ici. Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/les-deviations. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Fils d’agriculteur, Pascal Thomas a baigné dans cet univers depuis son plus jeune âge.Mais, il rêved'une autre vie.En suivant des études d’ingénieur, il devient rapidement ingénieur informatique.De Paris au Canada, il fait carrière dans la Tech etiloccupedes postes à hautes responsabilités.Tout semblait répondre à ses aspirations professionnelles, jusqu'en2000 oùson père apprend qu'il est atteint de la maladie de Parkinson - une maladie dégénérative causée par l’utilisation prolongée des pesticides -.C'est un chocfamilialqui le pousseà tout quitter pour soutenirses proches.Il rentre avec les siens en France où il doit se construire une nouvelle vie.Son esprit entrepreneurial continue pourtant de l'habiter.Il s'emploie ainsi à développer une nouvelle technologie d’agriculture verticale qui permet de cultiver des légumes sans utiliser de pesticides.C'est à cet instant que Futura Gaïa est né.Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/les-deviations. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
"J’ai découvert que je devais renouer avec ce que j’avais toujours aimé et que j’avais laissé tomber."Amoureuse des lettres depuis toujours, Julia n'envisage pas de vivre sans littérature mais se dit très vite que le métier d'écrivain est réservé à une élite.Elleoccupera finalement des postes sédentaires pendant dix ans-dont six en banque,passésderrière un écran d’ordinateur d’une part etd'unécran de fumée d’autre part-.Après deux événements marquants, il a fallu qu'elle retrouve confiance en elle pour repartir dans un nouveau projet.C'est ainsi qu'elle se fait accompagnerdans son cheminement etdanssa reconversion par le parcours Chance.Julia Urso a fait et continue de faire de son rêve d’écriture une réalité : elle écrit et vient d’auto-éditer son premier livre, « Dis-moi, la mer, et si…? ».*Cette vidéo a été réalisée en partenariat avecChance.Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/les-deviations. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
"Je me suis dit qu'est-ce que tu risques ? Au pire, tu te plantes et tu sauras rebondir, et au mieux, ça marche !"Après 20 ans dans la communication, Mélanie Agazzone avait le sentiment d'avoir "atteint le Graal" à son poste de directrice communication chez Instagram. Elle s’épanouissait dans son travail et dans sa vie personnelle mais une petite voix revenait pourtant sans cesse lui dire qu’une autre voie l’attendait. « J’avais envie de changement et je n’ai pas voulu attendre une crise, attendre d’aller mal. » Le premier confinement accélère ses réflexions, elle réalise qu’il lui reste plus de vingt ans à travailler et des événements douloureux la conduisent à acter sa reconversion.Première étape, le bilan. « A un moment donné, j’ai vraiment douté qu’il y ait un autre métier fait pour moi. »Accompagnée par le parcours Chance pendant plusieurs mois, Mélanie remet le doigt sur sa passion pour l’architecture d’intérieur. « Je viens d’une famille d’entrepreneurs, mes parents avaient un magasin d’ameublement, mon grand-père était ébéniste, bref… j’avais quelques signaux depuis longtemps mais j’avais enfoui cette passion. » La barrière des longues études nécessaires à ce métier tombe lorsqu’elle réalise qu’il existe en réalité des formations bien plus courtes pour se lancer.La décision est prise mais les enjeux ne sont pas minces : quitter un métier qu’on connaît et qu’on maîtrise, chambouler un confort et une sécurité matérielle avec une famille et des enfants en bas âge à assumer… « Une prise de risque, c’est un calcul à faire et j’ai réalisé que j’avais quand même des soutiens solides autour de moi. »*Cette vidéo a été réalisée en partenariat avec Chance.Pour en savoir plus sur le parcours Chance suivi par Mélanie, c'est ici :https://cutt.ly/zFGBHluSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/les-deviations. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Rien ne prédestinait Stéphanie Maubé, 42 ans, qui a travaillé les six premières années de sa vie professionnelle dans le milieu du cinéma et de la communication à devenir bergère ! Des déviations plurielles largement mises en avant dans notre magazine sur la quête de sens et le changement de vie (en vente ici : https://lesdeviations.fr/magazine-les-deviations/).C'est lors d'un séjour dans la Manche en Normandie qu'elle découvre par hasard l'univers, très particulier des prés salés et des moutons. "Cela a été un électrochoc". Enceinte de son fils, elle quitte Paris pour suivre une formation pendant un an au Lycée agricole de Coutances, un BPREA - Brevet professionnel de responsable d'exploitation agricole-. Elle s'installe à Lessay. Les débuts sont difficiles. Elle parvient à obtenir 50 000 euros, une somme qui l'aide à démarrer et qu'elle mettra huit ans à rembourser. "Cela m'a empêchée de me payer pendant les premières années. Heureusement j'ai eu l'aide du RSA qui m'a permis de tenir et d'élever mon fils." Et Stéphanie de reconnaître :" je n'envisageais pas que devenir éleveuse serait un tel combat". Mais la bergère des prés salés va vite trouver sa place en se faisant élire à plusieurs fonctions locales clés. "J'ai découvert que j'étais engagée et que je ne pouvais plus défendre mon propre confort ou ma qualité de vie." Prise par ses différents mandats, Stéphanie prend, cependant, la décision de conserver son exploitation pour ne pas devenir une élue déconnectée de la réalité professionnelle. " Cet engagement politique est une déviation dans ma déviation. Il donne du sens à une vie : se sentir utile. J'ai beaucoup de chance, et oui je suis infiniment épanouie". Et cela se voit bien à travers ce reportage tourné dans le bureau de sa mairie.Reportage-montage : Cédric RamezInterview : Nicolas PigasseSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/les-deviations. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
« A la fin, je suis arrivée à la conclusion que je m’ennuyais en entreprise ». Isabelle Vitalis, parisienne de naissance, a toujours placé la réussite au premier plan. En tant que femme, elle se devait d’exceller et de devenir indépendante (des portraits inspirants largement mis en avant dans notre revue sur la quête de sens et le changement de vie en vente ici : https://lesdeviations.fr/magazine-les-deviations/). Après un échec aux concours des grandes écoles de commerce, Isabelle commence sa carrière dans le conseil. Elle intègre ensuite un grand groupe pour y développer le marketing et le e-commerce. Lassée par le système managérial devenu ubuesque, elle décide de tout quitter pour monter son entreprise de promotion de l’Artisanat Cosmétique Bio Françai (Mes Cosmétiques Français). Elle quitte en même temps son cocon parisien et ses amis, pour vivre dans la campagne varoise. Depuis sa « sortie du cadre », Isabelle n’a jamais été aussi comblée. Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/les-deviations. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Pour trouver ce pour quoi on est fait, certains disent qu’il suffit de penser à ce pour quoi on serait prêt à payer pour le faire. Depuis petit, Olivier Larregle lui, n’a aucun doute : la philosophie est sa passion. Et pour cause, il enchaînera plusieurs métiers annexes et alimentaires pour pouvoir pratiquer à côté la philosophie, sans pourtant pouvoir en vivre. Alors il tisse son parcours au fil de détours, de rencontres et de ruptures, jusqu’à arrêter ses métiers annexes pour enfin mêler magie et philosophie, et en vivre.Aujourd’hui, Olivier a créé à Biarritz la Nouvelle Acropole, un centre baptisé Maison Lehena qui permet de faire vivre la philosophie et de la rendre accessible à tous.Pour lui, « la philosophie est un art de vivre », et il nous compte cet art aujourd’hui.De notre côté, toute l’équipe des déviations a cousu main un magazine pour rassembler l’avis d’experts sur le thème du changement de vie et de la quête de sens. On a beaucoup travaillé pour concrétiser ce projet qui, nous l’espérons, fera avancer les réflexions de chacun d’entre vous. Pour le commander, rendez-vous sur notre site internet : https://lesdeviations.fr/magazine-les-deviations/Trêve de blabla, nous vous laissons savourer cette balade philosophique, avec Olivier Larregle.Interview : Victoria GuillomonSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/les-deviations. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.